Collège Sainte-Marie
Le Collège Sainte-Marie, c’est avant tout une équipe pédagogique, des hommes et des femmes
investis dans leur métier d’enseignant pour permettre à vos enfants de s’épanouir, de développer
leurs talents et se préparer aux études dans l'enseignement secondaire...
Voici notre école racontée en quelques dates...
L'école des frères marianistes
En 1874, sous l’impulsion du comte Georges de Nédonchel, quatre frères marianistes expulsés d’Alsace fondent à Boussu une école primaire pour garçons. Elle est située à la rue Basse (aujourd’hui rue Jules Bonaventure). L’école est payante et s’appelle « l’école Sainte-Marie ». Elle comprend trois classes. Cinq religieux l’animent.
En 1879, à la demande de la population, une école gratuite est fondée pour les enfants pauvres : « l’école Saint-Louis ». Ce sont les familles des enfants de l’école Sainte-Marie qui paient pour les enfants de l’école Saint-Louis. Les deux écoles se partagent les bâtiments, mais un mur sépare la cour en deux parties (il sera détruit en 1930). En 1908, la redevance est abandonnée et tous les élèves, pauvres et riches, partagent les mêmes lieux.
En 1885, l’école ouvre sa première année d’enseignement moyen, suivie bientôt d’une deuxième puis d’une troisième année.
C’est aux alentours de 1890 que les petites maisons qui constituaient l’école sont abattues et qu’est construit le bâtiment que nous connaissons encore aujourd’hui. L’école prend le nom d’Institut Sainte-Marie. Elle accueille ses premiers instituteurs laïcs en 1905.
Durant la Première Guerre mondiale, l’école est transformée en hôpital militaire par l’occupant allemand. Les bâtiments souffriront également beaucoup durant le deuxième conflit mondial.
Le collège diocésain
En 1952, au départ des frères marianistes, l’école est reprise par le Diocèse de Tournai qui y envoie des prêtres enseignants, avec la volonté d’y ouvrir une section secondaire : la section primaire demeure sans modification, mais les septième, huitième et neuvième années feront place à trois classes d’humanités modernes qui par la suite se transformeront en cycle complet.
L’école prend le nom de « Collège Sainte-Marie ». L’abbé Louis Leleux en est le premier directeur.
En raison de l’augmentation constante du nombre d’élèves en secondaire (102 élèves en 1962, 250 en 1965), le projet naît de construire de nouveaux bâtiments : faut-il alors étendre l’école de Boussu par achats de terrains contigus, construire en hauteur, établir le secondaire ailleurs ?
En 1965, le Collège achète un terrain de cinq hectares, celui de l’ancienne faïencerie de Saint-Ghislain, à la rue du Port.
La suite de l'histoire de notre "Grand Collège" se trouve sur le site de la section secondaire (voir "Liens").
Un nouveau départ
A Boussu, grâce à l’espace libéré par le départ de la section secondaire, les classes primaires disséminées dans divers locaux paroissiaux peuvent réintégrer le bâtiment de la rue Bonaventure.
Le 13 octobre 1974, le Collège célèbre le centième anniversaire de l’installation des frères marianistes à Boussu. A ce moment, 480 élèves fréquentent la section secondaire et 300 la section primaire.
En 1975, le Collège reprend l’école primaire paroissiale de la rue de l’Abattoir à Saint-Ghislain.
Durant les années quatre-vingt et nonante, l’accroissement de la population scolaire conduit le Collège à rénover ou construire de nouveaux bâtiments, tant en primaire qu’en secondaire. Un nouveau bâtiment est ainsi construit à la rue de l'Abattoir.
En 1999, Madame Marie-France Boucquegneau est nommée directrice. Monsieur Edi Mestriner lui succède en 2009.
(Avec des extraits de l'ouvrage de Marcel CARLIER et Raymond MAHIEU, Histoire des congrégations religieuses de Boussu, 1981.)
Ici et maintenant !
Mais en attendant, voici, dans l'onglet "La vie à l'école",
quelques activités récentes.
Car "Hier est de l'histoire
Demain est un mystère
Aujourd'hui est un cadeau.
C'est pourquoi on l'appelle PRESENT"
Eleanor Roosevelt